Osmose -2019
Shahla Dadsetan conçoit sa pratique picturale comme le moyen de penser les flux qui animent le visible afin de traduire la dimension sensible de l’univers. A travers ce thème, elle inscrit son travail dans une histoire de l’abstraction.
Les toiles récentes sont autant d’évocation de ces flux vitaux. Les éléments qui les composent s’enroulent sur eux-mêmes et se déploient en forme labyrinthique. Cette matière en gestation et en constante mutation semble se déplacer emportée par des lignes et des ondes lumineuses. L’espace pictural se présente comme un complexe réseau d’entrecroisements où tout se relie et s’engendre. Un espace de propagations et d’entrelacs, d’ondes rythmiques rappelant celui que la cosmologie chinoise désigne par le TAO.
Au gré de l’harmonie des variations et des dégradés de nuances, entre opacité et transparence, cet espace vibre en créant un effet d’infini et de mouvement. L’ampleur et l’énergie du geste anime la couleur en structurant la composition.
Les couleurs pour Yves Klein sont « des êtres vivants (…), les véritables habitants de l’espace ». De même les couleurs pour Shahla Dadsetan ont pour mission de rendre visible la circulation des flux vitaux, leur passage d’un état à un autre et la réalisation de leur symbiose au sein de ce rayonnement cosmologique.
Sa peinture tend vers l’exploration des relations qui unissent chaque individu à l’espace et à l’univers. Elle invite à penser une dimension qui vient du fond du temps, un espace temporel sans début ni fin qui nous plonge dans l’immensité d’un mystère.
Les toiles récentes sont autant d’évocation de ces flux vitaux. Les éléments qui les composent s’enroulent sur eux-mêmes et se déploient en forme labyrinthique. Cette matière en gestation et en constante mutation semble se déplacer emportée par des lignes et des ondes lumineuses. L’espace pictural se présente comme un complexe réseau d’entrecroisements où tout se relie et s’engendre. Un espace de propagations et d’entrelacs, d’ondes rythmiques rappelant celui que la cosmologie chinoise désigne par le TAO.
Au gré de l’harmonie des variations et des dégradés de nuances, entre opacité et transparence, cet espace vibre en créant un effet d’infini et de mouvement. L’ampleur et l’énergie du geste anime la couleur en structurant la composition.
Les couleurs pour Yves Klein sont « des êtres vivants (…), les véritables habitants de l’espace ». De même les couleurs pour Shahla Dadsetan ont pour mission de rendre visible la circulation des flux vitaux, leur passage d’un état à un autre et la réalisation de leur symbiose au sein de ce rayonnement cosmologique.
Sa peinture tend vers l’exploration des relations qui unissent chaque individu à l’espace et à l’univers. Elle invite à penser une dimension qui vient du fond du temps, un espace temporel sans début ni fin qui nous plonge dans l’immensité d’un mystère.