Sonorités cosmiques -2020
Pour Shahla Dadsetan, la pratique artistique a partie liée avec l’expérience d’être au monde. Elle consiste à aller chercher en soi les sensations qui la traversent, faites de tensions, de forces, d’énergies.
Peindre c’est traduire ce rapport vibrant au monde en s’ouvrant à l’espace infini et mystérieux de l’univers, cet espace de l’imaginaire qui se confond avec l’espace intérieur.
Chaque toile est une sorte de monde flottant parcouru d’ondes qui se propagent dans un mouvement de flux rendu sensible par la fluidité du trait ; un univers en expansion propice à la gestation de formes qui semblent naitre sous nos yeux sous l’effet des contrastes propre au chromatisme entre opacité et transparence.
Sa volonté de laisser libre cours à l’impulsion du geste confère aux tableaux une vivacité particulière. Le regard est entrainé dans le mouvement de ces méandres colorés suscitant une méditation dont chacun peut faire l’expérience selon sa propre sensibilité.
Peindre c’est traduire ce rapport vibrant au monde en s’ouvrant à l’espace infini et mystérieux de l’univers, cet espace de l’imaginaire qui se confond avec l’espace intérieur.
Chaque toile est une sorte de monde flottant parcouru d’ondes qui se propagent dans un mouvement de flux rendu sensible par la fluidité du trait ; un univers en expansion propice à la gestation de formes qui semblent naitre sous nos yeux sous l’effet des contrastes propre au chromatisme entre opacité et transparence.
Sa volonté de laisser libre cours à l’impulsion du geste confère aux tableaux une vivacité particulière. Le regard est entrainé dans le mouvement de ces méandres colorés suscitant une méditation dont chacun peut faire l’expérience selon sa propre sensibilité.